Exigez avec nous la protection sans condition des populations civiles
© AHIM RANI/Reuters/Corbis
Brunéi Darussalam
Les droits humains au Brunéi Darussalam en 2017
L’absence de transparence rendait difficile toute évaluation indépendante de la situation en matière de droits humains. Des modifications du Code pénal de la charia, échelonnées dans le temps et non encore appliquées, prévoyaient l’imposition, pour une série d’infractions, de la peine de mort et de châtiments corporels constituant des actes de torture et d’autres mauvais traitements, comme la bastonnade et la lapidation. Si elles étaient appliquées, ces modifications limiteraient par ailleurs davantage encore les droits à la liberté de pensée, de conscience et de religion, et renforceraient la discrimination à l’égard des femmes.
En savoir plus : Le Brunéi Darussalam dans le rapport annuel d'Amnesty International 2017-2018
Peine de mort: Abolitionniste en pratique
La peine de mort est inscrite dans la législation du pays ou territoire, mais les autorités n’ont procédé à aucune exécution depuis au moins 10 ans.