Exigez avec nous la protection sans condition des populations civiles
Surveillance numérique ciblée : non au Big Brother 2.0 !
Votre pétition a été remise !
Nos équipes étaient à New-York au siège des Nations-Unies du 26 au 31 octobre. Elles ont rencontré des délégations nationales de l'ONU pour leur demander de prendre des mesures concrètes pour mettre fin à la surveillance numérique ciblée. À ces rendez-vous, nos équipes n'y sont pas allez seules mais accompagnées des 100 000 signatures internationales. Rien qu'en France, vous avez été 70 000 personnes à la signer. Un grand merci. Notre pétition a donc été officiellement remise à l'ensemble des États membres de l'ONU.
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Les équipes d'Amnesty International devant le siège des Nations-Unies pour remettre la pétition mondiale contre la surveillance numérique illégale; pétition qui a rassemblé 100 000 signatures à travers le monde - New-York le 28/10/22 / © Inès Mermet - Amnesty International
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Les attaques numériques contre les défenseurs des droits humains, journalistes et membres de la société civile sont en augmentation. Leurs appareils numériques sont piratés, ils peuvent être espionnés, réduits au silence ou intimidés. Les révélations du Projet Pegasus en sont un exemple flagrant.
Dans certains pays, cela peut être risqué et dangereux de défendre les droits humains et de révéler la vérité. De plus en plus, des gouvernements utilisent des outils de surveillance numérique pour intimider, harceler et arrêter des personnes.
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Gouvernements et entreprises disent que ces outils de surveillance ne sont utilisés que pour cibler « des criminels et des terroristes ». Mais dans la réalité, ce n’est pas le cas. Le Projet Pegasus révèle que des politiques, des journalistes ou encore des défenseurs des droits humains, dans le monde entier, ont été pris pour cible illégalement, au moyen du logiciel espion Pegasus.
Pourtant, des États à travers le monde continuent de fermer les yeux et d’autoriser la vente et l'exportation de technologies de surveillance sophistiquées et intrusives à plusieurs pays.
L’exportation de technologies de surveillance à des gouvernements qui utilisent ces outils de manière illégale doit cesser.
Téléchargez la version imprimable et faites-la signer autour de vous.